Escape book – panique dans l’hyperespace

Réussirez-vous à résoudre les énigmes pour sortir indemne du livre ?

Le Hiérophante, votre vaisseau, est lancé dans le vide pour une raison inconnue ! Vous vous réveillez de votre état de stase, supposé faire passer le voyage plus rapidement, pour découvrir le pire autour de vous ! Le reste de l’équipage manque à l’appel… Plus vous progressez sur le vaisseau, plus il vous semble sentir une étrange présence.

Codes informatiques, secrets du personnel, énigmes surprenantes, danger de mort à chaque recoin du vaisseau, pour vous en sortir, il va falloir trouver qui a pris le contrôle du Hiérophante. Et dans l’espace, personne ne vous entendra…

Inspirez des Escape Games, Panique dans l’Hyperespace est un opus d’un genre nouveau : l’Escape Book.

Editeur 404 éditions
Auteur Eric Nieudan
Illustration couverture David Chapoulet
Parution 2018

Avis :

Dans la gamme des « Escape book » (6ème déjà!) de chez 404 éditions. On change de thème et on recommence LOL ! Toujours le même principe d’une aventure à énigmes avec un concept « d’objets/symboles » à combiner via un carnet de notes en fin de volume. On incarne dans cette aventure une femme (comme Ripley dans Alien) qui se réveille dans un vaisseau où il s’est vraisemblablement passé d’étranges évènements.

Le « défaut » de cette collection, qui pour moi avait été gommé à l’avantage du gameplay dans « La marque de Cthulhu », est de retour dans ce volume. A savoir, un trop plein de symboles à ne plus savoir qu’en faire dans un espace trop grand et des énigmes qui en deviennent trop complexes au lieu d’être instinctives. Surtout que, le vocabulaire spatial est très spécifique (pods, stase, OnirOs, persocom …),  le vaisseau Hierophante est structurellement complexe, les noms/prénoms des nombreux équipiers pas facile à retenir, les objets/caractères (que vous allez collecter et devoir combiner) en forme de peignes se ressemblent tous (caractères ogham) et le scénario ajoute un univers parallèle « Oniros » qui met la barre très haute pour s’en sortir sans se perdre. En gros, cela complexifie l’expérience ludique, certains apprécieront.

A réserver aux fans d’Escape Book version 404, de cerveaux qui chauffent, de science fiction  et de peignes. Pour débuter, on préfèrera l’Escape Book : prisonnier de l’Overworld – Irving Le Hen plus accessible.

Le petit plus  Les illustrations noir et blanc au top !

LivresJeux Auteur

Passionné de livres-jeux et de jeux de société.

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